Un très bon coup en vacances avec une belle queue

A travers ce joli prénom inventé, ce pseudo se cache une sacrée coquine ; oui j’aime la queue et alors ? j’ai 33 ans donc je profite à fond de la vie et de mon charme naturel. Pas besoin de me maquiller, les gars se retournent dans la rue pour mater mon boule et mes nichons. Tous les mêmes !

Cet été, je suis partie en camping sur la côte basque, j’avais envie de m’aérer après une année bien remplie. Vu que je n’ai pas beaucoup d’amis, je suis partie en solo, me disant que je ferais sans doute des rencontres sur place. Et ça n’a pas loupé ! Le premier jour sur la plage, pas mal de gars me mataient, car j’avais enfilé mon petit monokini blanc, et je mettais mon joli 90C en valeur, me passant souvent de la crème sur mes seins, tout en dévisageant moi aussi les gars autour de moi. J’aimais les allumer grave.

Et en plus personne osait me parler, je devais sans doute faire fuir les hommes et si au départ c’était marrant, au bout de deux jours j’en avais un peu marre, j’avais envie de me faire baiser ! donc un après midi, en déambulant sur le camping, j’ai repéré un garçon, il devait avoir une vingtaine d’années, et il était avec sa famille dans le camping ; en mode je me fais chier ; il était assez mignon, bien que timide puisqu’en passant devant lui, il baissait les yeux. Quelques minutes plus tard, profitant que sa famille était sortie en ballade, je me suis approché de lui, et, en minaudant comme jamais, je lui ai dit :

«  excuse moi de te déranger, je suis dans la tente juste là au bout, et je galère pour installer le wifi du camping, tu as l’air d’être un geek tu peux me filer un coup de main ? »

Il baissait les yeux encore, rougissant, alors je baissais la tête aussi et lui faisait mon regard de chienne battue, lui demandant déjà son prénom. « Melvin…ok je vais essayer de t’aider ! »

Et nous partions lui et moi vers ma tente. Evidemment mon wi fi, j’en avais rien à faire, je voulais juste m’envoyer en l’air avec le jeunot. Une fois installés dans ma tente, je sortais ma tablette et je le laissais bidouiller, mais étant dans une tente deux places, il faisait rapidement chaud dans si peu d’espace. Je retirais donc mon paréo et je me retrouvais seins nus et en maillot près de lui. Melvin rougit ensemble, n’en finissait pas de transpirer et il avait bien du mal à rester concentré sur le code wi fi. Mais il parvient tout de même à me connecter. J’avais pas tout perdu !

« Merci Melvin, tu es trop chou ! » et je m’approchais de lui pour l’embrasser sur la joue, en profitant pour frotter mes seins contre son tee shirt. J’avais vraiment envie de baiser.

 

Voyant qu’il était vraiment, vraiment timide, je pris les choses en main, je le plaquais sur le sol et de la joue je remontais jusqu’à sa bouche et nous échangions notre baiser, j’enfonçais ma langue dans sa bouche et il se laissait faire, se laissant embrasser sans bouger quoi que ce soit. Je descendais alors ma main sur son torse et j’attrapais son short, cherchant sa queue. Je n’eus pas de mal à la trouver, tant la grosseur était bien présente.

«  laisse toi faire… » je lui disais. J’allais me satisfaire toute seule comme une grande. Je m’allongeais sur lit, retirant son tee shirt, puis descendant sur son short que je retirais. Ne restait que son slip de gosse, mais une fois ma main à l’intérieur j’étais sur le cul ! Il avait une bite énorme ! Je la sortais de son slip et commençait à la caresser, j’avais du mal à en faire le tour avec ma main, j’en avais rarement vu des si grosses. Je me mettais à cheval sur lui et je le suçais un peu, avalant son gros gland et essayant de descendre un peu le long de sa queue, même si j’avais du mal à l’avaler en entier. Melvin gémissait déjà, il fermait les yeux et se laissait faire, ne sachant pas où mettre ses mains, il prenait déjà grave son pied, j’avais peur qu’il me gicle dans la bouche avant que j’ai eu le temps de prendre mon pied. Je me mis donc sur lui et j’astiquais son gros membre sur ma petite chatte déjà bien trempée, avant de m’affaler sur lui, m’empalant sur sa bite, la queue au fond de ma chatte ; je criais tant sa queue me défonçait le trou, je lui tenais le torse et je montais et descendais sur lui, en amazone, allant à mon rythme. Sa queue me domptait bien, il me mit les mains sur les hanches et commença à accélérer ! Enfin, il prenait des initiatives ! Et putain c’était bon !

Il me baisait de mieux en mieux, me fit tomber sur le côté et se mit derrière moi, toujours en moi, se redressant légèrement pour me la mettre bien profond. Je manquais de m’étouffer tant sa queue était grosse et me défonçait, il se mit à me pilonner la chatte si bien que je jouis sans pouvoir le contrôler, essayant de ne pas trop crier pour éviter de me faire remarquer en pleine journée. Lui il gémissait de sa voix rauque, n’hésitant pas à me fesser de temps en temps, il avait du voir ça dans des films le salaud. Je jouis alors, bouffant le matelas pour éviter de hurler.

Alors il se retira et il vient sur moi, me présentant sa grosse queue et je l’enfournais dans ma bouche car je voulais tout recevoir dans ma bouche et faire ma salope. Je mis mes seins autour de son dard et je le branlais rapidement, faisant sortir son gland que je gobais à chaque sortie. Il mit même pas une minute à gicler, et je me recevais une dose de foutre peu commune, j’en avais de partout, sur les seins dans le cou et surtout dans la bouche, j’avalais sa semence, le suçant encore un peu pour le remercier de m’avoir autant comblé. Puis je m’essuyais et je lui disais au revoir, prétextant un coup de fil à passer. Je n’allais pas le revoir, c’était juste un apéro, mais un apéro très sympa n’est-ce pas ?

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