Ma toute première sodomie, je vous raconte tout !

 

Coucou ! Vous vous souvenez de moi ? Amélie, la coquine novice du sexe en plein apprentissage avec son chéri exhibitionniste ? La dernière fois, je vous ai raconté ma première expérience anale avec un parfait inconnu sous les yeux de mon copain. Aujourd’hui, j’ai une autre anecdote à partager avec vous…

Ma première sodomie

Il y a peu, Théo, mon petit ami depuis quatre ans, et moi avons débuté l’expérience du voyeurisme. En effet, nous avons maintenant l’habitude de baiser sauvagement devant la webcam afin que des observateurs pervers du monde entier nous matent et se masturbent face à nous. C’est lors d’une de ces séances très hot que nous avons fait la connaissance de Matt, celui qui m’a enculé pour la première fois. Nous nous revoyons d’ailleurs très souvent. C’est un amant formidable avec un membre énorme. Je savoure toujours longuement sa queue, car lui aussi est très soucieux de me procurer un maximum de jouissance. Mais, je m’égare, revenons à nos moutons, ou plutôt à mon étalon !

Je disais donc que Théo et moi adorions nous faire contempler lors de nos ébats et attouchements respectifs. Quant à moi, le fait d’être vue et de me sentir désirable décuple mon plaisir. Voir une personne avoir de l’attirance pour moi lorsque je me caresse me rend complètement folle. Je me sens tellement puissante que, dans ces moments-là, je suis prête à tout, notamment à me faire prendre par n’importe qui. J’arrête de vous faire languir plus longtemps. Toujours très excitée à l’idée de me remémorer cet événement, je vais vous raconter mon incroyable expérience de la semaine passée. Attention aux oreilles chastes, ce récit est réservé à un public averti !

La nouvelle expérience que m'offre mon sexfriend !

Ce soir-là, Théo revient du travail le sourire aux lèvres, le regard dans le vague et les mains encore plus baladeuses que d’habitude. J’adore le voir dans cet état. Je m’approche de lui et sens tout de suite son excitation. La bosse dans son pantalon, formée par son énorme engin laissait présager une nouvelle soirée de débauches. Je caresse tout doucement l’étoffe gonflée de son habit avec une moue coquine. Le souffle déjà court, Théo m’attrape le poignet stoppant ma main en train de s’aventurer à l’intérieur de son caleçon.

« Pas maintenant, ma jolie. Je te réserve une surprise dont tu te souviendras longtemps ». Vêtu d’une simple robe d’été, les cheveux détachés sur les épaules et bien sûr sans sous-vêtements, je dois avouer que la perspective d’une soirée torride de libertinage m’est plus qu’agréable.

Théo me bande les yeux en me caressant les fesses à travers ma robe légère. Il glisse sa main experte sous ma tenue et me fait écarter doucement les cuisses. Je sens ses doigts s’insérer à l’intérieur de ma chatte tout humide. Le souffle saccadé, les yeux clos, mais les autres sens en alerte, car privés de la vue, je profite pleinement de ses doigts effleurant mon clitoris déjà tout gorgé de désir. Cet instant est un pur délice. Il m’a ensuite attrapé par la taille et m’a jeté par-dessus son épaule. Les yeux bandés et les fesses à l’air, j’étais dans l’attente de la surprise finale qui, j’en étais sûre, me comblerait de bonheur. Mon petit ami m’a posé sans ménagement à l’arrière de la voiture tout en me disant que ce qui allait se passer, je l’avais bien mérité avec une tenue pareille. Heureusement, notre combi est spacieux et Théo à la délicatesse de me jeter sur le matelas. Nous roulons un moment qui me semble interminable tant l’excitation qui me gagne est forte. À chaque fois que j’essaie de parler, Théo m’intime sèchement de me taire ce qui a le don de m’émoustiller encore davantage. J’adore quand il prend ce petit air autoritaire avec moi.

 

 

C’est parti pour l’exhib

Nous nous arrêtons enfin. Théo sort de la voiture et je l’entends parler avec quelqu’un. Ma main s’égare sur mon sexe, je suis impatiente de me faire défoncer. Je sens le désir atteindre mon corps et mon esprit. Mes doigts devenus experts frôlent mes petites lèvres et s’aventurent profondément à l’intérieur de mon jardin secret. Je n’ai pas seulement envie de me faire remplir ce soir, j’en ai besoin ! J’entends les portes s’ouvrir enfin. Prise en flagrant délit de caresses clitoridiennes, Théo me houspille : « Tu es vraiment une vilaine fille, je vais te faire payer de ne pas être plus patiente “. Mon copain me retire le bandeau. Et là, surprise ! Je vois que je suis dans une sorte de clairière avec plusieurs voitures garées autour de nous. Il fait sombre, mais je distingue clairement plusieurs hommes, 5 ou 6 peut-être, en train de s’avancer près de nous. Sûrement que ma robe transparente et mes yeux bandés doivent leur laisser penser que quelque chose se trame ici. Et ils ont raison.

Théo s’approche de moi et m’agrippe violemment par les cheveux. Il me tire sur la nuque en direction de son pantalon. Je remarque qu’il a préalablement déballé la marchandise. À la vue de son sexe, et déjà bien excitée par mes caresses dans la voiture, je m’agenouille rapidement à hauteur de son membre dressé. Je m’empresse de l’attraper et le porte à ma bouche tout en regardant franchement les voyeurs venus admirer le spectacle. Plusieurs personnes ont déjà commencé à se tripoter à la vue de la superbe bite offerte par mon homme. Je fais courir lentement ma langue sur le gland découvert de mon chéri afin de l’exciter encore davantage. Je soupèse ses bourses pleines et lèche copieusement la longueur et le frein de la queue tendue. J’avale goulûment sa verge aussi loin que je le puisse. Je joue avec son gland rougi que je promène sur mes lèvres puis je le pompe généreusement. Je l’entends geindre de plaisir, je suis trempée. Ma cyprine coule le long de ma cuisse découverte. Je vois du coin de l’œil un homme à côté de nous éjaculer en soupirant. Je prends carrément mon pied et j’adore voir tous ces hommes, témoins de notre intimité. Je suis ravie de leur offrir ce charmant spectacle ! Théo me baise la bouche avec vigueur, il me maintient par la tête et fait des mouvements de va-et-vient tout en me tirant par les cheveux. Je suis en plein rêve, mais je ressens de plus en plus un sentiment d’inconfort. J’en veux plus. Je me tortille sur place afin de réussir à me caresser moi aussi. J’entends un homme encourager Theo, puis un deuxième lui intimer de me prendre comme une salope.

 

 

La baise perverse

Théo retire son braquemart tout humide de ma bouche sous l’œil lubrique de nos spectateurs du soir. Il me retourne violemment et je me retrouve le nez dans le matelas le fessier découvert. Je sens son membre durci s’insinuer en moi et pénétrer ma chatte trempée. Mon mentor a inséré son pouce dans mon petit cul serré, je suis maintenant à sa merci. Les voyeurs se rapprochent de nous, je distingue les halètements de plusieurs d’entre eux très excités à l’idée de me voir me faire défoncer. J’entends les sexes frotter dans les mains de nos compagnons, les soupirs et le mouvement puissant de la bite de Théo qui vient s’écraser contre mon minou. Tous ces sons me transforment, j’ai les oreilles qui bourdonnent. Je gémis et dis à Théo de me pilonner encore plus fort. Mais au lieu de m’empaler comme je le demande, Théo se retire brusquement, me lèche l’oreille et me pince les tétons durcis par le désir. Je crie sous le coup de l’étonnement. Je me redresse et me retrouve dehors, les jambes pantelantes. Je sens le sexe dressé de Théo sur ma cuisse, il me mord le cou, ce qui m’arrache un petit cri. Un long frisson me parcourt le corps. Il enlève ma robe doucement sous les regards complices des voyeurs présents. L’un deux, appuyé contre un arbre, augmente la cadence de sa branlette à la vue de mon sexe offert. Un second éjacule copieusement sur le sol, son sperme me frôle les pieds. Le spectacle de tant de corps emplis de désirs me transporte et m’excite au plus haut point. Théo m’arrache à ce panorama en me poussant violemment contre le capot de la voiture. Je me retrouve les seins écrasés sur la carrosserie sous le poids de Théo. Je l’entends me dire à l’oreille : ‘Attention, ma jolie, que la fête commence ! ’.

Je n’ai pas le temps de réaliser ce qui m’arrive que je sens Théo m’écarter les fesses, me cracher dessus et m’enfoncer sauvagement son sexe gonflé. Les hommes autour de nous exhortent mon petit ami sadique de me labourer le derrière et l’encouragent allègrement. Théo me maintient par la taille et pousse violemment son bassin contre mes hanches et mon cul tout dilaté. Je crie à chaque coup de butoir non par douleur, mais par pure excitation. Mes seins tapent sur le revêtement froid de la voiture à chaque coup de reins. Je pousse des petits cris étouffés. Je sens que je suis bientôt prête à jouir. Théo glisse ses doigts dans ma chatte qui dégoulinent de plaisir tout en maintenant le rythme de son membre dans mon postérieur. Il enfonce ses doigts profondément en moi. Cette double pénétration simultanée me fait perdre pied, j’ai la tête qui tourne et des picotements dans tout le corps. J’étreins la cuisse de Théo et plante mes ongles dans sa jambe musclée. Je crie que je n’en peux plus et que je vais jouir là tout de suite. Théo m’attrape par la gorge qu’il serre juste assez pour que le plaisir soit exacerbé. Mon orgasme arrive, j’hurle et sens le jus de Théo se déverser dans mon anus. Lui aussi crie en se vidant pour la première fois dans mon cul vierge jusque là. Quelle bonne baise ! Les voyeurs giclent à leurs tours devant le spectacle de nos deux corps enchevêtrés à même le capot de la voiture. Je me lève et attrape ma robe tombée sur le sol. Certains hommes viennent nous féliciter et nous remercier pour cette aventure sexuelle. Je reprends mes esprits pendant que Théo prend le numéro de téléphone d’un jeune garçon d’à peu près notre âge très agréable à regarder. Je l’avais d’ailleurs remarqué à notre arrivée.

Nous reprenons la route, encore plus complice que jamais, prêts à vivre encore très vite de nouvelles expériences de débauche. Rassurez-vous, je ne manquerai pas de vous les faire partager...