Etre une bonne suceuse ça sert !

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La belle Karina est de retour !

La niçoise de 24 ans qui commence à se dévoiler devant vous n’a pas toujours été aussi sûre d’elle. Et aujourd’hui, je vais vous raconter quand j’ai commencé à voir que je plaisais.

L’histoire semble hyper caricaturale mais elle est vraie. A l’époque j’ai 20 ans à peine, et je passe mon oral de BTS. J’ai fait un BTS tourisme et même si j’avais envie de réussir, j’avais pas mal de difficultés dans les cours. Tout devait donc se jouer à l’oral pro que je passais avec un prof.

Le jour J, je me suis donc mise en tailleur, chemise fermée quasiment jusqu’en haut, jupe mi-cuisse et petit talons. Je rentre et en face de moi se trouve un prof d’une quarantaine d’années à peu près, cheveux bruns coupés très courts, chemise blanche, jean et basket. Mignon et super décontracté. Il me met tout de suite à l’aise pour passer l’oral, je m’assois, j’ouvre un peu ma veste et je commence.

L’oral se termine et timidement je demande comment il s’est passé, même sans avoir de note. Et là, le professeur me dit qu’il est désolé, que j’ai fait un hors sujet et que malgré toute ma bonne volonté je suis passé à côté de mon oral. Je suis alors complètement déboussolée, à la limite des pleurs, car je sais à cet instant que je viens de rater mon BTS. Voyant mon trouble, il s’approche alors de moi et me demande de me calmer, il pose ses mains sur mes épaules et commence un mini massage. Je suis alors complètement perturbée par son geste, mais je sais qu’il essaye de me calmer donc je me laisse faire. Et sans faire gaffe à ce que ça signifiait, je déboutonne deux boutons de ma chemise pour me donner de l’air.
« vous voulez que je le repasse ? dites moi je fais ce que vous voulez » murmurai je doucement.

Il se mit alors près de moi, sur une autre chaise, et me dit aussi calmement qu’on allait trouver une solution, que j’avais l’air motivée…et en disant ça, il descendait le long de ma chemise, en me regardant en souriant. Il était bel homme, même s’il avait deux fois mon âge. J’avais pas envie de le contredire, et pour une fois que mon charme marchait. Il défit un autre bouton, et ma jolie poitrine fut dévoilée, et il commença à la caresser, tout en glissant un doigt dans ma bouche pour que je le suce. J’ai alors tout de suite compris ce qui allait se passer et ce qui me proposait.

J’ai commencé à lui lécher le doigt pendant qu’il retirait un bout de mon soutien-gorge pour me lécher mon téton, qui durcissait déjà sous sa langue. Il me téta le sein, puis le deuxième, avant de se lever pour fermer la porte à clé et éteindre les lumières.

Histoire-erotique-de-Karina-avec-un-jeune-couple-coquin

« t’auras une bonne note Karina… » me dit-il. Avant de déboutonner son pantalon, de le faire descendre et de me présenter son boxer déjà déformé par sa queue. Je passais alors ma main dans celui-ci et j’en extirpai sa bite, toute gonflée de plaisir et sans réfléchir je me mis à le sucer doucement, pour lui montrer combien j’étais motivée ; et que cet oral là ne serait pas hors sujet. Je caressais ses couilles et je descendais le long de son sexe, le gobant de temps en temps, tout en le regardant grimacer de plaisir. J’espérais ne pas faire l’amour avec lui car j’avais peur qu’on me surprenne comme ça. Lui ne semblait pas gêné et il pelotait mes nichons énormes en gémissant.

Je retirais alors tous les boutons, puis je levais carrément mon soutif, lui dévoilant mon opulente poitrine. Je continuais de le pomper, descendant de plus en plus bas en gorge profonde, j’avais sa queue au fond de ma gorge, ses poils frottaient contre mes lèvres, c’était à la fois bon et dérangeant. J’avais une impression de lâcher prise.

Puis pour lui montrer combien j’étais gentille, j’attrapai sa queue et je me mis à 4 pattes, avant de rassembler mes deux seins pour y planter sa queue au milieu.

Mon copain adorait les cravates de notaire, et j’avais largement ce qu’il fallait pour le faire. J’ai donc commencé à branler sa queue entre mes deux seins, elle avait carrément disparu entre les deux et elle ressortait timidement, juste assez pour que je lui donne un bon coup de langue, ou que je lui gobe le gland luisant et plein de salive. Je me mis à le branler de plus en plus rapidement, agitant mes seins et gémissant alors que je ne prenais pas de plaisir en particulier ; j’avais de plus en plus envie qu’il me baise mais j’allais me contenter de le faire jouir, en espérant qu’il me donne cet examen. Je lui dis que c’était bon, que j’aimais sa queue, et je continuai de le branler sentant qu’il prenait son pied le salaud.

Puis je lâchai mes seins et je le repris en bouche, cette fois ci plus rapidement, je le branlais tout en le suçant, ce qui en général faisait juter les hommes assez rapidement. Il tenait ma tête et m’enfonçait la queue dans mon gosier. Puis quelques secondes plus tard il accéléra tout en laissant sa pine dans ma bouche, et il se mit à décharger dans ma bouche sans me prévenir, jutant son foutre dans ma bouche, le liquide chaud me remplit la bouche et je dus bien sûr tout avaler pour ne pas laisser de trace, en bonne salope gourmande. Je tirais d’ailleurs la langue pour bien lui montrer que j’avais tout avalé.

Il se rhabilla, et alluma la lumière. Avant de me mettre 17. J’avais réussi mon examen. Et pris conscience que j’étais une belle pute. Un peu plus tard, j’appris que mon oral n’avait jamais été hors sujet, et que le gars avait profité de moi ; mais je ne dis rien, car j’avais trop aimé me faire remplir par cet enseignant, j’aurais bien aimé le revoir un jour d’ailleurs….

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